Mon chemin d’humanité sera en construction toute ma vie…
En voici quelques lignes. Le reste se retrouve dans mes écrits.
Je m’appelle Martine Fradet.
Je suis née à Montréal, Québec, Canada et j’y vis toujours.
Je suis née la journée de la fête de Notre-Dame du Rosaire.
J’aime préciser aussi que je suis née en même temps que Vatican II, car cela me situe dans l’histoire de l’Église.
Je suis dans ce qu’on appelle la classe moyenne.
Ma mère était femme au foyer et mon père artisan carreleur.
Mes grands-parents, maternels et paternels vivaient à la campagne et ont vécu l’exode vers Montréal. C’était le temps de la crise économique.
Ma mère est une autodidacte. Elle a suivi plusieurs cours et formations. Elle a donné des ateliers dans un centre communautaire. Elle a fait partie de plusieurs organisations et organismes. Elle a écrit. Je lui dédie une page sur ce site où j’ai placé ses écrits afin de lui rendre hommage. Elle est décédée en 2012. Mon père est décédé en 1990.
Je suis la dernière d’une famille de quatre enfants. J’étais très attendue et aimée.
Par contre, le milieu familial était dysfonctionnel. La bipolarité et l’alcoolisme étaient présents.
Je recherchais la paix, surtout dans la nature. De la naissance à l’âge de 15 ans, j’ai passé la plupart de mes weekends et toutes mes vacances d’été à la campagne dans Lanaudière.
Je réussissais bien à l’école et aimais les études. J’ai fait des études en danse, théâtre, lettres et communications. En 2013, j’ai obtenu un Certificat universitaire en accompagnement spirituel.
J’ai travaillé à Radio Ville-Marie, puis j’ai œuvré, en tant que directrice, au sein de l’Association québécoise du syndrome de la Tourette.
J’ai été mariée pendant 36 ans. J’ai trois enfants (âgés de 35, 32 et 23 ans). J’ai le bonheur d’être la grand-mère d’un petit-fils âgé de 17 ans.
Je travaille au sein d’une famille spirituelle qui a hérité du Charisme d’une communauté religieuse, les Sœurs de Miséricorde, au bureau qui avait été fondé pour la cause de canonisation de leur fondatrice, la Vénérable Rosalie Cadron-Jetté. Le nom de cette famille est la Famille Internationale de Miséricorde.
J’ai été membre, pendant 13 ans, du groupe des Adoratrices et Adorateurs Missionnaire de la Famille Reclusienne (Sœurs Recluses Missionnaires).
Je suis accompagnatrice spirituelle et animatrice au Centre Le Pèlerin.
Les randonnées pédestres et l’observation de la nature dans toute sa splendeur sont mes activités extérieures préférées. Je suis en contemplation et en émerveillement devant les beautés de la Création que j’essaie de capter par la photographie. La peinture acrylique et le dessin aux pastels me permettent de transposer ma vie spirituelle et humaine. Comme la musique fait partie de ma vie depuis toujours, l’écoute de la musique et de chants religieux est vitale pour moi.