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luisa piccarreta

Luisa Piccarreta

Luisa Piccarreta est celle par qui Jésus est passé pour nous livrer la révélation de la Divine Volonté.

Luisa est née dans une famille pauvre à Corato près de Bari dans le Sud de l’Italie, le 23 avril 1865, soit le dimanche après Pâques qui est devenu, à l’occasion de la canonisation de Sœur Faustine Kowalska, le 30 avril 2000, le Dimanche de la Miséricorde grâce au Pape Jean-Paul II et selon les désirs de Jésus exprimés à sœur Faustine.

On dit que Jésus voulait ainsi souligner que Luisa était celle choisie par Dieu de toute éternité pour nous apporter ce Don de la Divine Volonté, fruit par excellence de sa Divine Miséricorde.

Luisa est servante de Dieu, car sa cause de canonisation est en cours.

Elle est appelée la petite fille de la Divine Volonté. Jésus expliqua lui-même à Luisa qu’Il l’avait dotée d’une grande timidité et l’avait gardée à l’écart d’autrui, ne voulant que rien ne la touche, ni les choses, ni les personnes. Jésus la voulait étrangère à tout et à tous et n’ayant de plaisir qu’en Lui-même.

Jésus lui donna toutes les révélations concernant le troisième Fiat, soit le Fiat de la Sanctification qui est celui de la Divine Volonté. (J’explique les 3 Fiats, un peu plus loin.) À travers elle, Dieu a inauguré son nouveau Royaume, soit le Royaume de la Divine Volonté, afin que les créatures (terme employé par Jésus pour nous désigner) puissent maintenant y adhérer en s’instruisant à travers les 36 tomes du Livre du Ciel, dictés par Jésus Lui-même et transcrits par Luisa pendant 40 ans.

Bien que Luisa n’ait eu qu’une formation intellectuelle et scolaire très limitée, elle écrivit par obéissance à ses confesseurs non seulement Le Livre du Ciel (36 tomes), mais aussi Les 24 heures de la Passion de Notre-Seigneur Jésus-Christ ainsi que La Vierge Marie dans le Royaume de la Divine Volonté (88 pages), ce dernier regroupant les enseignements donnés par Marie à Luisa.[1]

Dieu a donc actualisé le don de la Divine Volonté à travers Luisa, le 8 septembre 1889 alors qu’elle avait 24 ans; le troisième Fiat commença à se déployer pour ainsi marquer le début de l’Ère du Royaume de la Divine Volonté sur Terre.

Ayant accepté l’état d’âme de victime dès son adolescence, Luisa fut alitée pendant 60 ans et elle ne se nourrissait que de la Sainte communion donnée par ses confesseurs qui célébraient la messe dans sa chambre quotidiennement.

Luisa perdait souvent conscience à cause des souffrances de plus en plus fortes de la Passion de Jésus. Son corps devenait rigide, quelquefois durant plusieurs jours jusqu’à ce qu’un prêtre la ramène de son état de mort apparente. (Dans ses écrits, Luisa parle de son état habituel.)

Luisa rentra à la Maison du Père à l’âge de 81 ans, le 4 mars 1947, à la suite d’une pneumonie qui dura quinze jours. Ce fut la seule maladie dont elle souffrit durant sa longue vie.

Sa mort fut marquée de phénomènes extraordinaires. À cause de ses si nombreuses expériences de sorties hors de son corps de son âme durant toute sa vie, les médecins mirent quatre jours avant de la déclarer réellement décédée.

Comme à l’ordinaire Luisa était assise droite dans son lit avec quatre oreillers derrière elle. Elle ne s’appuyait jamais sur ceux-ci parce qu’elle n’avait pas besoin de dormir. Il fut impossible de l’allonger même avec l’aide de plusieurs personnes; seule sa colonne vertébrale était rigide. Il fallut donc construire une tombe spéciale en forme de L.

À son décès, contrairement à la rigidité habituelle de son corps lorsqu’elle voyageait la nuit avec Jésus à travers le monde et les siècles, voilà que maintenant son corps était flexible, sauf sa colonne vertébrale. Les médecins pouvaient bouger sa tête dans toutes les directions sans aucun effort, lever ses bras, plier ses poignets et ses doigts demeurés souples. Ils levaient ses paupières et constataient que ses yeux étaient toujours brillants et non voilés. Luisa semblait encore en vie ou simplement endormie. Après de nombreux examens, les médecins finirent par constater son décès.

Elle demeura ainsi durant quatre jours sur son lit de mort sans aucun signe de décomposition bien qu’elle n’ait pas été embaumée.

D’autres faits, hors du commun, ont caractérisé la vie de Luisa Piccarreta et ils confirment d’une façon éloquente les nombreuses grâces spéciales qu’elle a reçues pour accomplir sa mission unique et exceptionnelle dépassant l’entendement humain.

En voici quelques-uns. Peu après sa première Communion, Luisa commence à entendre la voix de Jésus à l’intérieur de son âme. Jésus lui enseignait des méditations sur la Croix, l’obéissance, Sa Vie cachée à Nazareth, les vertus et plusieurs autres sujets. Luisa ne s’est jamais mariée. À vingt-trois ans, elle reçut la grâce du Mariage Mystique, le 16 octobre 1888. Épouse crucifiée, Luisa ne devint jamais religieuse comme elle le désirait, mais Jésus lui dit qu’elle était « la vraie religieuse de Son Cœur. »

N.B. Pendant que Luisa était en vie, une vingtaine de ses livres ont reçu l’Imprimatur et les autres volumes ont été approuvés en juillet 2010 durant son procès de béatification. (L’imprimatur est une autorisation officielle de publier, donnée par une autorité de l’Église catholique).

[1] Pour télécharger gratuitement ces documents en version PDF : https://www.carrefourdivinevolonte.com/ldc.html#mainSection1